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Angles des pentes d'escalier : A) rampe ; a) rampe douce, b) rampe normale, c) rampe forte ; B) escalier courant ; C) escalier de machine ; D) échelle.
Peinture, Contes de fées, Blanche-Neige (conte), Nains, Échelles, Blanche-Neige et les sept nains (conte), Troubles de l'humeur
Banche-Neige, un torchon sur le bras, s'explique avec Grincheux, assis sur un barreau d'échelle.
Coque de calebasse, le fruit du calebassier (Crescentia cujete), au Vénézuéla ; règle de 30 centimètres.
Photographie, Léonard de Vinci (1452-1519), Croquis (art), Échelles, Inventions, Amboise (Indre-et-Loire) -- Manoir du Clos Lucé, Grandes échelles
Croquis de l'échelle d'escalade par Léonard de Vinci, Clos Lucé, Amboise.
Photographie, Statues, girafe, Garçons, Échelles, Auteurs néerlandais, Ouvrages pour enfants, Prénoms de garçons
Dikkertje Dap et la girafe, statue de Frank Rosen, 1995. Ce petit garçon vient parler à une girafe du zoo dans le poème de Anna Maria Geertruida Schmidt (1911-1995). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Annie_M.G._Schmidt.
Une échelle est un dispositif ou un outil permettant de se déplacer, généralement verticalement et/ou de se tenir debout en hauteur. Elle est composée de barreaux, échelons ou traverses reliant deux montants. Les échelons et montants peuvent être en métal, (fer ou aluminium), bois, plastique, ou corde (échelle de "corde").
Photographie, Échelles, Poissons migrateurs, Barrages -- Aspect de l'environnement, Échelles à poissons, Isar (Allemagne)
Échelle à poissons au barrage sur l'Isar (affluent du Danube en Bavière) près de Pullach, Allemagne.
Dessins et plans, Couleurs, Temps (météorologie), Échelles, Radars météorologiques, Couleur en cartographie
Expemple d'échelle de couleur associée avec une image de réflectivité pour un radar météorologique. On y retrouve l'intensité taux de précipitation et en correspondance en dBZ. En général, les images de réflectivité utilisent une variation de couleur similaire à celle de l’arc-en-ciel. Les intensités les plus faibles sont indiquée par le bleu pâle (cyan), les intensités modérées par le jaune et les fortes par le rouge puis le magenta. Les intensités peuvent être reliées à la réflectivité en dBZ ou à son équivalent en millimètres/centimètres par heure. Par exemple, les images disponibles sur le site du Service météorologique du Canada utilisent cette échelle : en hiver le violet représente le taux de précipitation le plus élevé (20 cm/h) alors que le bleu-vert du bas de l'échelle représente le taux le plus bas (0,1 cm/h). Durant les mois d'été, l'échelle de réflectivité est remplacée par celle des précipitations pluviales, en mm/h, qui va d'une trace à plus de 100 mm/h. Certains utilisateurs préfèrent cependant des codes numériques plus simples à interpréter. Ainsi, lorsqu'un pilote d'avion ou un contrôleur aérien décrivent l'intensité des échos de précipitations sur leur affichage radar, ils utilisent des niveaux : niveau 1 pour la précipitation faible, niveau 2 pour de la précipitation modérée possiblement reliée avec une basse visibilité et de la turbulence, niveau 3 pour de la pluie/neige forte reliée à des conditions de vol dangereuses. Certains affichages commerciaux indiquent le type de précipitations. Ainsi les images que l'on peut voir aux bulletins télévisés en hiver peuvent séparer les zones de pluie, de pluie verglaçante et de neige. Ceci n'est pas une information venant du radar mais une association avec les informations venant des stations météorologiques de surface. Un programme analyse la température, le point de rosée et le type de précipitation rapportés par les METAR sous une zone d'échos au radar et fait la division des zones. Cet analyse peut être améliorée en utilisant les données des modèles de prévision numérique du temps comme champ d'essai mais le tout reste sujet à des erreurs de lissage et ne tient pas compte des effets de petite échelle dans la distribution des types de précipitations (air froid emprisonné dans une vallée qui donne de la pluie verglaçante au lieu de pluie par exemple). Quand les données de double polarisation seront largement disponibles, une telle analyse sera plus fiable.
Peinture, automne, Dix-neuvième siècle, Peintres anglais, Chasse, Chiens de chasse, Échelles, Richard Ansdell (1815-1885), Barrières, Gardes-chasse
Garde-chasse en train de surveiller, appuyé à une échelle, avec deux chiens à ses pieds, par Richard Ansdell (1815-1885).
Peinture, Enfants, Serpents, Adolescents, Jeux de société, Jeux de pions, Jeux de plateau, Analyse combinatoire, Échelles
Version indienne du XIXème siècle du jeu des serpents et des échelles (Gouache sur tisse). Serpents et échelles ou le jeu de l'échelle est un jeu de société populaire consistant à déplacer les jetons sur un tableau de cases avec un dé en essayant de monter les échelles et en évitant de trébucher sur les serpents. Il est suggéré que l'origine du jeu est moksha-patamu, un ancien jeu hindou remontant au deuxième siècle av. Jésus-Christ, créé par des enseignants hindous spirituels, où les serpents et échelles sont des symboles pour la moralité et spiritualité de la vie. Le jeu est une représentation d'un chemin spirituel que les humains prennent pour atteindre le ciel. Avec des bons gestes, le chemin est raccourci (ce que symbolise les échelles), tandis qu'avec le contraire, le chemin est allongé (d'où vient le symbolisme des serpents). Les différentes cultures ont perçu dans le jeu une valeur éducative et spirituelle, la raison commune pour laquelle ce jeu est surtout présenté aux enfants et adolescents. Les sanscrits avaient un jeu semblable appelé Dapasada. La forme moderne du jeu a été inventée par un Britannique appelé John Jaques qui travaillait pour la société Jaques of London. L'édition la plus connue du jeu est celle de Milton Bradley et Hasbro. La trajectoire suivie par les jetons suit habituellement celle d'un boustrophédon. La forme du jeu peut être mathématiquement représentée par une chaîne de Markov. Elwyn Berlekamp, John Horton Conway et Richard K. Guy ont écrit un livre pour montrer que ce jeu pouvait être traité comme un jeu impartial dans la théorie des jeux combinatoires.
Photographie, Décorations de Noël, Échelles, Père Noël, Italien (langue), Noli (Italie), Savona (Italie)
Père Noël italien montant à l'échelle, à Noli, dans la province de Savona en Italie.
Photographie, Ardoise, Chantiers de construction, Échelles, Pyrénées, Sailhan (Hautes-Pyrénées, France), Toits en ardoise
Toit d'ardoise dans le village de Sailhan, vallée d'Aure-65. Cliché Mme Gomez, directrice de l'école Montesquieu de Pessac-33, dans le cadre de la semaine rousse de ses élèves de CE1-CE2 à Saint-Lary, octobre 2014.
Dessins et plans, Amérique du Nord, Silhouettes, Dinosaures à bec de canard, Crétacé supérieur, Échelles (cartographie)
Comparaison de la taille humaine avec celle d'un dinosaure végétarien à crète et bec de canard, le Parasaurolophus walkeri. Ces animaux ont vécu au Crétacé supérieur lors du Campanien de 83,5 à 65,5 Ma dans l'actuelle Amérique du Nord. Au moins une quinzaine de fossiles ont été découverts en 2008. La crête du Parasaurolophus a plusieurs fonctions : la reconnaissance visuelle à la fois des deux espèces et des deux sexes, amplificateur acoustique, ou encore système de thermorégulation. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Parasaurolophus
Dessins et plans, Géologie, Animaux -- Fossiles, Silhouettes, Crétacé inférieur, Saurischiens, Systèmes de quadrillage, Échelles (cartographie)
Comparaison de la taille humaine et d'un Sauroposeidon, montrant les quatre vertèbres cervicales retrouvées et leur position probable dans son cou. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Formation_d%27Antlers.
Dessins et plans, Dinosaures, Animaux -- Fossiles, Salta (Argentine. - province), Systèmes de quadrillage, Crétacé supérieur, Sauropodes, Échelles (cartographie)
Comparaison de la taille humaine et d'un sauropode herbivore (Saltasaurus loricatus). Saltasaurus, le lézard du Salta (d'après une province d'Argentine), est un genre de dinosaure sauropode titanosauridés. Il a vécu en Amérique du sud, il y a environ 73 et 65 millions d'années, au Maastrichtien, la dernière période du Crétacé supérieur. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Saltasaurus.
Dessins et plans, Dinosaures, Géologie, Herbivores, Crétacé supérieur, Sauropodes, Échelles (cartographie)
Comparaison dans un quadrillage de la taille humaine et de celle d'un dinosaure Alamosaurus, grand herbivore mesurant 20 mètres de long, 7 mètres de haut et pesant 26 tonnes. Alamosaurus, comme les autres sauropodes, avait un long cou et une longue queue qui pouvait être en forme de fouet. Ce dinosaure avait une constitution relativement mince. Ses dents n'étaient pas appropriées à la mastication. Au lieu de cela, l'alimentation végétale était avalée et ensuite décomposée dans l'estomac. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Alamosaurus
Comparaison de la taille humaine et de plusieurs dinosaures théropodes. 1) Epanterias amplexus, 12 mètres ; 2) Allosaurus fragilis, 9,70 m ; 3) Allosaurus fragilis, taille moyenne 8,5 m ; "Big Al", 7,5 m ; Homme, 1,8 m.
Gravure, Histoire, Cartes anciennes, Mesure des longueurs, Échelles (cartographie), Maroilles (Nord)
Comparaison de quatre échelles, détail d'une ancienne carte de la forêt de Mormal (environ 10 000 hectares) dans le Nord de la France, (par Cassini autour de 1789 ?) : 1) 12 000 toises ou 6 lieues communes de France ; 2) 5 000 verges ou 5 lieues de Brabant ; 3) 4 Milles d'Allemagne, 4 000 pas géométriques ; 4) 20 000 mètres.
Photographie, Piles électriques, Mesure -- Instruments, allumettes, Règles, Électricité, Échelles (cartographie), Électricité -- Applications domestiques
Différents types de piles électriques avec règle et allumette pour l'échelle.
Logo d'échelle à poissons pour la "montaison" : Se présentant schématiquement sous la forme d'une sorte d'escalier constitué d'une succession de petits bassins, une échelle à poissons permet aux poissons migrateurs (anguille, alose, saumon...) effectuant leur montaison, ainsi qu'aux poissons cherchant les têtes de bassin pour se reproduire (par exemple les truites) de s'affranchir des obstacles créés par l'Homme et mettant leur survie en danger.
Photo de l'échelle d'accès à une palombière dans une forêt de pins de Gironde.
Photographie, Temps -- Systèmes et normes, Temps, Mesure du, Césium, Horloges à césium, Horloges atomiques, Berne (Suisse), Échelles de temps atomique, Temps (droit international)
Horloge atomique FOCS-1 en Suisse (Bureau fédéral suisse de métrologie METAS à Berne). La seconde est la durée de 9 192 631 770 périodes de la radiation correspondant à la transition entre les niveaux hyperfins F=3 et F=4 de l’état fondamental 6S½ de l’atome de césium 133. La seconde, étalon de mesure du temps, est ainsi un multiple de la période de l’onde émise par un atome de césium 133 lorsqu’un de ses électrons change de niveau d’énergie. On est ainsi passé de définitions, en quelque sorte descendantes, dans lesquelles la seconde résultait de la division d’un intervalle de durée connue en plus petits intervalles, à une définition ascendante où la seconde est multiple d'un intervalle plus petit. Lors de sa session de 1997, le Comité international a confirmé que Cette définition se réfère à un atome de césium au repos, à une température de 0 K. Cette dernière précision souligne le fait qu’à 300 K, la transition en question subit, par rapport à sa valeur théorique, un déplacement en fréquence dû aux effets de rayonnement du corps noir. Cette correction a été apportée aux étalons primaires de fréquence et donc au TAI à partir de 1997, quand elle a cessé d’être négligeable par rapport aux autres sources d’incertitude. On dispose aujourd’hui d’une exactitude allant jusqu’à la 14e décimale (10-14). L’exactitude et la stabilité de l’échelle dite du Temps atomique international (TAI) obtenue principalement à partir d’horloges atomiques à jet de césium sont environ 100 000 fois supérieures à celles du temps des éphémérides. C’est d’ailleurs l’unité du SI la plus précisément connue.
Photographie, Musique, Instruments de musique, Crayons, Instruments à vent, Flûte, Bois (instruments de musique), Vents (instruments de musique), Instruments de musique -- Chine, Flûte traversière, Échelles (cartographie)
Photo de koudi à côté d'un crayon, pour donner l'échelle. Le koudi est une minuscule flûte traversière en bambou chinoise dérivée du dizi. Elle a été inventée en 1971 par le maitre de dizi Yu Xunfa. Elle est faite d'un très court segment de bambou avec des trous de jeu de part et d'autre du trou d'insufflation. Une des plus célèbres compositions pour le koudi est YunQue. L'instrument est également utilisé dans les pièces d'orchestre chinoises telle que Fei Tian. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Koudi
Dessins et plans, Signalisation routière, Routes, Bornes kilométriques, Cartes routières, Cartes -- Échelles, Cartes -- Symboles, Chemins, Guides verts Michelin (collection de monographies), Légendes de cartes, Localités, Signes conventionnels (cartographie)
Légende de carte Michelin en 1940 : routes, chemins divers, signes divers sur routes, voies ferrées, localités, kilométrage, signes conventionnels, échelle.
Photographie, Main, Alimentation, Desserts, Records, Glaces, Cornet, Échelles (cartographie), Crèmes glacées
Maxi-glace dans son cornet tenu dans une tasse, un homme tient un repère vertical pour souligner sa taille.
Photographie, Bureaux -- Appareils et matériel, Règles, Unités de mesure, Taille, Papeterie de bureau, Échelles (cartographie), Trombones
Taille de trombone métallique mesurée à l'aide d'une règle jaune : 280 millimètres.
Tour génoise Santa Maria, Cap Corse : 1) guardiola, 2) terrasse, 3) salle de garde, 4) salle de repos, 5) réserves. Les tours génoises sont des édifices en pierre de 12 à 17 m de haut sur 8 à 10 m de diamètre. Parfois carrées, le plus souvent circulaires, elles sont toujours construites sur quatre niveaux : 5) la réserve : au sous-sol de la tour ; une niche servait à ranger les vivres ; on y stockait également les munitions ; et l'eau y était conservée dans une citerne, alimentée depuis la terrasse par une conduite directe ; 4) la salle de repos : au premier étage ; parfois séparée de la salle de garde par un simple plancher sommaire et formant avec elle un espace de vie unique ; 3) la salle de garde : au deuxième étage ; percée de meurtrières pour permettre aux torregiani de guetter ; 2) la terrasse : au sommet de la tour ; pour la surveillance ; percée de mâchicoulis ou munie de bretèches, était flanquée d'une guardiola. On passait d'un niveau à l'autre par des trappes et des échelles. L'accès à la porte d'entrée se faisait par une longue échelle mobile, directement au premier étage. Les gardes habitaient à tour de rôle la pièce unique pourvue de niches et d'une cheminée, et située sous la salle de guet.