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Photographie | Peinture | Flore | Printemps | Silènes (plantes) | Aquarellistes | Aquarelles | Silène | Jules Eudes (1856-1938) | Âne | Mythologie classique | Ivresse | Botanique | Fleurs dans l'art | Rois et souverains -- Mythologie | Gediz (Turquie), Vallée du | Géographie - Strabon (0060?-0020? av. J.-C.) | Monnaies d'électrum | Phrygie (Turquie) | Sardes (ville ancienne) | ...
Mosaïque de Silène et son âne. Source : http://data.abuledu.org/URI/505f3d86-mosaique-de-silene-et-son-ane

Mosaïque de Silène et son âne

Mosaïque conservée au musée El Jem en Tunisie, représentant Silène porté jusqu'à son âne.

Silène ivre sur son âne. Source : http://data.abuledu.org/URI/505f3bb2-silene-ivre-sur-son-ane

Silène ivre sur son âne

Mosaïque romaine (Musée de Naples) de la maison de Paquius Proculus (I, 7, 1) à Pompéi représentant Silène comme un gros vieillard ivre sur son âne retenu par deux personnages (oreilles, queue). Pour qualifier son Gargantua, Rabelais utilise dans son prologue l'image de la boîte de Silène.

Coquelourdes des jardins. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad3b12-coquelourdes-des-jardins

Coquelourdes des jardins

Silène Rose-du-ciel (coeli-rosa) et coquelourde des jardins (Lychnis coronaria). Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Fleurs du printemps, Paul Lechevalier, 1929. La coquelourde des jardins (Silene coronaria) est une plante herbacée vivace appartenant au genre Silene et à la famille des Caryophyllacées. D'origine plutôt méditerranéenne et montagnarde, elle est très cultivée, formant des massifs spectaculaires au feuillage argenté et aux fleurs d'un pourpre ou d'un grenat intense. À noter l'existence d'une variété horticole à fleurs blanches. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lychnis_coronaria

Fleuve Gediz en Turquie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b105c7-fleuve-gediz-en-turquie

Fleuve Gediz en Turquie

Fleuve Gediz en Turquie, connu sous le nom d'Hermos. L'Hermos est présenté comme l'un des 25 fils de Téthys et d'Océan, cités par Hésiode dans sa Théogonie, où il relate la création du monde : « Téthys à Océan enfanta les fleuves tourbillonnants : Nil, Alphée, Éridan aux tourbillons profonds, Strymon, Méandre, Istros aux belles eaux courantes, Phase, Rhésos, Achéloos aux tourbillons d'argent, Nessos, Rhodios, Halliacmon, Heptaporos, Granicos, Aisepos, le divin Simoïs, Pénée, Hermos, et Caïque au beau cours, le grand Sangarios, Ladon, Parthénios, Événos, Ardescos et le divin Scamandre. » Son affluent, le Sart Çayı ou Pactole, est célèbre pour la légende grecque, disant qu'il charriait des paillettes d'or. Midas était le roi de Phrygie, royaume d'Asie mineure situé entre la Lydie et la Cappadoce. Une histoire raconte l'aventure arrivée au vieil ivrogne Silène. Celui-ci, suivant une procession en l'honneur du dieu de la fête et de l'ivresse Dionysos, se perdit près du palais royal. Midas et ses gardes le retrouvèrent assoupi et le roi lui offrit de rester quelques jours au palais avant de le rendre à Dionysos. Le dieu récompensa le roi en lui accordant un souhait. Midas demanda que tout ce qu'il touche se transforme en or. Incapable de manger et de boire, il supplie le dieu de reprendre son présent. Dionysos lui ordonne alors de se laver les mains dans les eaux du Pactole, dont le sable se change en or. Cette légende explique le caractère aurifère du Pactole, auquel la Phrygie doit une bonne partie de son empire. Les ressources du Pactole étaient déjà épuisées avant le Ier siècle selon le témoigsnage du géographe grec Strabon (57 av. J.-C.-entre 21 et 25 ap. J.-C.). L'électrum a été utilisé dans l'Antiquité pour frapper les premières monnaies. Les sources littéraires montrent que les Lydiens, fréquemment présentés comme les inventeurs de la monnaie, disposaient grâce au fleuve Pactole d'une source d'or naturel. Les fouilles américaines à Sardes ont confirmé l'existence d'une métallurgie de l'or et de l'argent : elles ont mis au jour des installations permettant d'obtenir par coupellation de l'électrum à partir des pépites d'or locales.

Silènes de jardin. Source : http://data.abuledu.org/URI/53adbf99-silenes-de-jardin

Silènes de jardin

Silènes de jardin, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. Ce sont des plantes à feuilles opposées, glabres ou duveteuses. Les fleurs sont en grappes lâches. Le calice est tubulaire portant de 10 à 30 nervures et se termine par 5 dents. Les 5 pétales sont bilobés ou finement divisés en lanières. il y a 10 étamines, et 3 (parfois 5) styles. Plusieurs espèces ont ou peuvent avoir des fleurs unisexuées. Dans ce cas le calice des fleurs femelles est généralement plus enflé que celui des fleurs mâles. Le fruit est une capsule à 5 loges, portée par un "pied". Il faut enlever le calice qui est persistant pour le voir. C'est une baie dans l'espèce S. baccifera. Le nom du genre est certainement lié au personnage de Silène, père adoptif et précepteur de Dionysos, toujours représenté avec un ventre enflé semblable aux calices de nombreuses espèces, par exemple S. vulgaris (le Silène enflé) ou S. conica au calice en outre, telle la panse de Silène. À partir du tissu placentaire de fruits de Silene stenophylla stockés par des écureuils il y a plus de 32 000 ans et retrouvés dans du pergélisol en Sibérie, des chercheurs ont réussi à régénérer cette plante. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sil%C3%A8ne_%28plante%29