Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.
Peinture, Art japonais, Escalade de rocher, Dix-neuvième siècle, Fuji (Japon. - mont), Katsushika Hokusai (1760-1849)
Fait partie de la série "Trente-six vues du mont Fuji", nº34, par Katsushika Hokusai (1760-1849).
Peinture, Artistes japonais, Fleurs -- Dans l'art, Pivoines, Estampes en couleurs japonaises, École ukiyo-e, Japonais (langue), Canaris, Art (Époque d'Edo) -- Japon (1600-1868), Art edo, Hokusai Katsushika (1760-1849)
Canari et pivoines, 1833, par Hokusai Katsushika (1760-1849) : L'art japonais de l’ukiyo-e "Images du monde flottant ou souffrant" est né dans la ville d'Edo (aujourd'hui Tokyo) durant l'époque de Tokugawa ou d'Edo (1600-1868), une époque relativement paisible durant laquelle les shoguns Tokugawa gouvernaient le Japon et ont fait d'Edo le siège du pouvoir. La tradition d'estampes et de peintures sur bois ukiyo-e s'est poursuivie jusqu'au XXe siècle. Cette estampe, réalisée en 1833 ou 1834, fait partie de la série "Petites fleurs" de Katsushika Hokusai. Sa couleur de fond et sa taille sont inhabituelles. D'autres exemples de cette estampe, que l'on trouve au British Museum et au Musée national de Tokyo, ont un fond bleu intense. Elle est similaire à une estampe de la collection James A. Michener de l'Académie des Arts d’Honolulu et, comme celle-ci, porte des cachets du censeur et de l'artiste.
Peinture, hiver, Neige, Mangas, Dix-neuvième siècle, Estampes (19e siècle), Japon, Estampes en couleurs japonaises, Katsushika Hokusai (1760–1849)
Copie des années 1930 de "Salon de thé à Koishikawa, un matin de neige", 1830, par Katsushika Hokusai (1760–1849). Il signa parfois ses travaux, à partir de 1800, par la formule Gakyōjin, « le Fou de dessin ». Il est parfois vu comme le père du manga, mot qu'il a inventé et qui signifie à peu près « esquisse spontanée ».